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francois henri galland
6 octobre 2009

11 septembre

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Très probablement, je tente de reproduire le même effet que celui ressenti devant les vitrines léchées.

Les bouquets de fleurs rassemblent autant la rencontre que la séquestration, dont ils partagent bien plus que des analogies formelles, et que ma fascination. Les corps et les visages fonctionnent comme des paysages orientaux.

L'immédiateté du geste et l'économie de moyens comme modes opératoires.... Ouais, bon :

Il s'agit de considérations post-nuit blanche ou rien n'apparut ce soir là ; certains se raccrochaient à leur prothèse photographique, en qui les croyances attribuent la capacité de voir l'invisible et de dérober le visible. Un lieu intermédiaire, qu'autorise le procédé, fixer la lumière (quelle étrangeté, d'ailleurs...)

...Intermédiaire comme le sont la Merveille de l'absence et la peur de la présence suscitées par les objets et les monstres ; tendre vers le zen mais ne pas redouter l'explosion ; accepter d'être un artiste monde, ou old school, c'est pareil.

Je ne suis pas  satisfait de mes dessins, je ne parviens plus à cette évidence, celle des grandes oeuvres. La peinture me guette, et c'est trop much. Work ? Return to the darkness...

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francois henri galland
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